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Les mesures visant à accueillir le personnel soignant et la main-d'œuvre qualifiée d'origine étrangère en Wallonie

  • Anne Laffut
  • 26 mai
  • 1 min de lecture

Mme Anne Laffut (MR). – Monsieur le Ministre, selon un récent rapport de l’OMS publié à l’occasion de la Journée internationale des infirmières, près d’un infirmier sur quatre exerçant dans les pays à revenu élevé est originaire de l’étranger.


En Wallonie, comme chez nos voisins, cette réalité ne se limite pas au seul métier d’infirmier. Dans le contexte tendu des soins à la personne, marqué à la fois par des pénuries de personnel soignant et une hausse de la demande de soins causée notamment par le vieillissement de la population et l’augmentation de nombreuses pathologies, de plus en plus d’intervenants – à tout stade de la prise en charge – sont d’origine non belge. C’est dire l’importance pour notre population de cette main-d’œuvre formée pour une bonne part à l’étranger et la nécessité de les attirer pour leur permettre d’exercer leur métier sur notre territoire. C’est également le cas pour bon nombre de métiers en pénurie.


À ce titre, la DPR prévoit, simultanément à une activation accrue des demandeurs d’emploi et à une optimalisation du paysage de la formation, la flexibilisation de l’octroi de permis de travail temporaire pour les migrants. Monsieur le Ministre, où en sont les discussions à ce sujet ? D’autres mesures sont elles en cours afin d’encourager une main-d’œuvre qualifiée à venir travailler dans les métiers en pénurie en Wallonie ?



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